Le Tarot Divinatoire

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​La Tarologie est l'art de lire l'avenir par les carte du tarot, mais aussi un outil de connaissance de soi...

Le tarot divinatoire est un art divinatoire qui utilise les cartes du tarot de Marseille. Il s'agit d'une forme de cartomancie.

L'interprétation des cartes de tarot – comme oracle ou dans le cadre d'une approche plus psychologique – est parfois désignée par des néologismes, comme tarologie. Cette pratique repose sur un ensemble de croyances, propres à l'occultisme, quant à l'existence de forces mystérieuses ou de liens invisibles entre les choses. Dans le milieu occultiste, de nombreuses théories attribuent à l'usage divinatoire des cartes de tarot, comme aux cartes elles-mêmes, des origines mythiques très diverses : Égypte ancienne, Bohémiens, etc.

Historiquement, l'approche des cartes de tarot comme instrument d'interprétation prend vraisemblablement sa source à la fin du xviiie siècle, dans l’œuvre d'Antoine Court de Gébelin immédiatement prolongée par Jean-Baptiste Alliette, dit “Etteilla”. Au xixe siècle, Eliphas Lévi développa une théorie qui, associant notamment les 22 cartes majeures (nomméesarcanes majeures à partir de 1863, en référence au lexique de Paracelse) aux 22 lettres de l’alphabet hébreu, est devenue la référence dans le milieu occultiste.

À partir du travail de Lévi, de nombreux jeux de tarot divinatoire ont été créés au tournant des xixe siècle et xxe siècle par différentes sociétés occultistes, essentiellement françaises et anglo-saxonnes, chacune désireuse de développer un jeu dont l'iconographie et la clé d'interprétation seraient conformes à sa doctrine. Parmi les plus célèbres dérivés, on trouve leTarot de Wirth, publié en 1889 par Stanislas de Guaïta et Oswald Wirth, et le Tarot Waite-Smith, publié en 1910 par Arthur Edward Waite et Pamela Colman-Smith.


​Le Tarot est un jeu de carte qui a vu le jour en Egypte, au temps des pharaons, où il était utilisé pour entrevoir l'avenir d'une personne. Puis il a traversé les siècles et est réapparu au moyen-âge, mais à l'époque il ne comptait pas autant de cartes qu'aujourd'hui. Il faut attendre le XVIIIème siècle pour voir apparaître les cartes dites « arcanes majeurs », désormais le tarot sera aussi connu sous le nom de tarot de Marseille (mais il en existe beaucoup d'autre).

Le jeu de Tarot est composé de 78 cartes, dont 22 arcanes majeurs correspondants chacune à différentes étapes de notre vie ou de notre évolution. Les autres cartes appelées arcanes mineurs définissent également des domaines de notre existence. Ainsi un Tarologue pourra apporter des réponses à tous nos questionnements et sur les évènements importants de notre vie.

Le plus connu est le Tarot de Marseille, également appelé le tarot français, c'est celui qui est le plus utilisé car il est le plus précis. Il est à la base du Tarot moderne, avec des cartes aux images médiévales. Il existe depuis le milieu de XIXème siècle et s'est rependu à travers toutes la France depuis Marseille, ce qui lui faudra son nom. D'autres tarots ont été créés au fil des siècles, répondant à des croyances différentes et des interprétations du monde divergentes. On trouve alors, le Tarot de Dali, le Tarot de Mantegna, Tarot de Mitelli... et encore bien d'autre.

Le Tarot utilise plusieurs couleurs vives (7 au total) pour donner une autre dimension à la carte et appuyer son sens :

Le jaune représente la maturité professionnelle, la noblesse et est également la couleur des dieux.
Le rouge représente la base de la vie.
Le couleur chair est utilisée pour la peau des personnages appuyant ainsi leur côté humain.
Le vert représente tout ce qui est végétal.
Le bleu symbolise la sagesse et la vérité.
Le blanc est signe de pureté, la révélation et le changement
Le noir qui contrairement à ce qu'on peut penser, représente la fécondité.

La lecture...

Tous les Tarologues n'utilisent pas les mêmes techniques, mais généralement l'utilisation des mineurs est courante. Il vous est demandé de choisir des cartes parmi celles proposées, le nombre de cartes dépend du type de voyance.

Parmi les traces les plus anciennes qui ont été trouvées, il y a les Tarots de Jean Noblet vers 1650, de Jean Dodal vers1701, et de Nicolas Conver en 1760. Mais bien des thèmes se retrouvent déjà sur les tarots enluminés de Visconti et de Charles VI, datant du milieu du XVe siècle.

Bien des thèses différentes et souvent contradictoires existent concernant l'histoire du Tarot de Marseille avant ces œuvres d'art du XVe siècle en Italie. Plusieurs pistes ou sources se croisent, selon qu'on considère le Tarot de Marseille comme un jeu de cartes, un objet historique médiéval ou un outil dédié à la divination, ce qu'il est tout à la fois.

Historiens des jeux de cartes et ésotéristes ne s'accordent pas, et sont même très divisés entre eux. Les ésotéristes et amateurs de cartomancie racontent d'ordinaire que, dans l'Antiquité, il aurait existé des jeux de cartes divinatoires en Egypte comme un mythique tarot Egyptien ou "livre de Thot", très proche du Tarot de Marseille selon eux (mais rien de semblable n'a jamais été trouvé par l'archéologie), et enGrèce, amenés, a-t-on dit souvent, par les gitans (qui étymologiquement signifie venant d'Égypte), peuple d'origine indienne. Cette culture des cartes divinatoires pourrait donc être originaire d'Inde, bien que les jeux de cartes eux-mêmes seraient originaires de Chine, et parvenus en Europe par les biais des Arabes sous le nom de naibi, selon les historiens.

Concernant les arts divinatoires semblables à la cartomancie dans l'Antiquité, auxquels les ésotéristes veulent rattacher le Tarot de Marseille (ce qui est historiquement contestable), Cicéron signale, dans son "De la divination", le tirage des "sorts" (des lamelles d'écorce avec des symboles) au temple de Fortuna à Péneste, et Plutarque, à la fin du Ier siècle, se plaint, dans ses "Dialogues pythiques", des charlatans hantant les abords des temples, qui proposent "aux femmes et aux valets" des oracles obtenus à partir de "tablettes" tirées au hasard. Une telle forme de divination populaire existait donc bien avant l'arrivée des premiers Gitans, ce qui fragilise la thèse si souvent affirmée d'une origine indienne ou passant par ces nomades lors de leur prétendu séjour en Egypte, qui relève du mythe. Cependant, depuis la chute de l'empire romain, il faudra attendre la fin du XVIIIe siècle pour entendre parler de cartomancie - et pas encore avec le Tarot de Marseille -, d'abord en France semble-t-il, ces pratiques étant totalement absentes de tous les procès de sorcellerie. La doxa des ésotéristes et "tarologues" autoproclamés semble très loin des réalités historiques.

Une thèse récente, défendue par Daimonax (Tarot de Dionysos) reconnaît dans les images du Tarot de Marseille la transposition d'une ancienne iconographie romaine liée aux cultes de Bacchus et ses rituels initiatiques, et voit une transmission depuis le monde du théâtre de l'Antiquité tardive, sous le patronage de Dionysos-Bacchus, jusqu'au Moyen Age par le truchement des professionnels itinérants du spectacle populaire, les anciens "bohémiens", suivant un chemin semblable, si ce n'est pas le même, qui mène de l'ancienne comédie atellane romaine (et osque auparavant) jusqu'à la commedia dell'arte ou certaines marionnettes lyonnaises comme Polichinelle, anciennement Maccus. Cette approche bouleverse toutes les exégèses faites sur ces allégories et rendent caducs tous les commentaires et interprétations passés sur le sens de ces images.

D'autres thèses existent encore sur les origines du Tarot de Marseille et de son imagerie, comme celle de Daniel Rodes et Encarna Sanchez qui ont trouvé beaucoup de liens entre le Tarot et la philosophie des cathares medievaux.

LE TAROT DIVINATOIRE

En fait d'historique, il s'agit plutôt d'un mythe qui remonterait au temps des Pharaons. Il s'agirait de 22 gravures transmises par le Dieu Thot, messager des Dieux auprès des Hommes.

Moïse qui avait été recueilli par les égyptiens et considéré comme le frère de Pharaon a été élevé dans l'enseignement des prêtres et aurait pris connaissance de ces tableaux. Lors de la fuite des Juifs hors d'Egypte, Moïse aurait transmis sa connaissance à son peuple par un alphabet qui est constitué de 22 lettres.
Cette connaissance porte le nom de kabbale où chaque lettre a un équivalent numérique.

Certains chercheurs sont convaincus d'un héritage antique (égyptien, chinois, indien, judaïque, grec, romain ...) qui en fin de compte se serait matérialisé, sous une forme christianisée, dans les sujets allégoriques du Tarot. D'aucuns souligneront plus particulièrement l'aspect alchimique tandis que d'autres préféreront mettre en relief les apports platonicens et pythagoriciens de la seconde moitié du XVè siècle en Italie du Nord notamment florentins : Néoplastonisme médicéen.

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​​Pascal Jean-Philippe MONTIER (06 63 79 03 50)

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